Cette maison était habitée par un vieil homme seul, qui vivait modestement, avec quelques chèvres. De ces personnes d’un autre âge, d’une autre époque, qu’on regarde avec tendresse, car ils sont l’histoire de nos campagnes.
Ce que Dominique ne savait pas, c’est que ce pépé, faisait en fait partie de son arbre généalogique. Sa mère, Rose, était la nièce de la grand-mère de Dominique. Curieux hasard.
Rose était une personne pleine de caractère. Au carrefour de plusieurs village, les gens s’arrêtaient chez elle, pour faire couvige. On parlait, on riait certainement, on partageait un verre. Rose était un personnage, si bien que tout le monde, même après son décès, se souvenait de sa maison comme la maison de “la Rose”. Un nom que Dominique et Alain n’ont pas pu se résoudre à changer pour le gîte qu’ils ont créé.
Ce gîte, justement, parlons-en.