CALQ : un cadeau précieux pour la Haute-Loire

Publié le 28/06/2019 - 5 minutes de lecture

MARCEL a eu la chance de rencontrer CALQ, un cousin un peu plus âgé de quelques années mais qui a la même vocation : mettre en valeur notre beau département et ses acteurs qui le font vivre.
Chez CALQ, les mots ne défilent pas sur l’écran mais sur du papier de qualité que l’on prend plaisir à feuilleter, à conserver sur sa table de salon, précieusement en attendant le prochain numéro.
Le numéro 5 est sorti hier et… il se peut que l’équipe de Bonjour MARCEL se dévoile un petit peu à l’intérieur. On ne vous en dit pas plus 😉

3, 2, 1… Tout ce qu’il faut savoir sur le magazine qui aime la Haute-Loire autant que MARCEL

MARCEL : Bonjour CALQ !

CALQ : Bonjour MARCEL !

M : Quelle joie de se rencontrer enfin. Comment ça va à l’approche de la sortie du prochain numéro ?

C : Tout va bien. Nous sommes heureux et pressés de le dévoiler. C’est toujours excitant de voir la réaction des gens quand ils le feuillettent pour la première fois.

M : On ne tient plus en place, on a vraiment hâte de découvrir son contenu ! Comment a commencé cette aventure un peu folle ?

C : Tout a commencé en mars 2017 quand deux amoureux de la Haute-Loire (Margaux et Fabrice) ont eu envie de créer quelque chose. Fabrice voulait partager sa passion pour l’architecture et l’artisanat, Margaux, était très amoureuse du papier et des beaux supports. Ces deux-là voulaient se faire plaisir mais aussi partager leur amour pour le Puy et le département. Après quelques réunions où les idées ont fusé, CALQ était né !

Fabrice et Margaux, deux amoureux de la Haute-Loire

M : Pourquoi avoir choisi « CALQ » pour un nom de magazine ?

C : Ahah ! En fait, tout comme toi mon cher MARCEL, on cherchait un nom court, facile à retenir et percutant. On a choisi « CALQ » car selon nous, beaucoup de personnes ont une image pas très juste du Puy et du département. Beaucoup les considèrent comme vieillissants, un peu poussiéreux. Notre vision nous semble plus juste et nous avons choisi le mot « CALQ », en référence à la feuille calque que nous utilisions à l’école primaire pour redessiner sur une image. Grâce au magazine on décalque la Haute-Loire que l’on redessine selon l’image que l’on veut lui donner. L’image d’un territoire dynamique où il fait bon vivre.

M : Ça on adore ! C’est vrai qu’il fait bon vivre ici, c’est important de le dire !

C : Oui c’est important. Nous avons une véritable affection pour notre département et une tendresse folle pour la ville du Puy. Sans tomber dans le chauvin, je pense que quand on est bien quelque part c’est important de le faire savoir.

M : Rassure-moi : CALQ, vous n’êtes pas que deux à le faire vivre ?

C : Non, au fil du temps, notre équipe s’est étoffée. Nous ne sommes pas très nombreux mais assez pour créer un vrai comité de rédaction qui se retrouve tous les 6 mois pour mettre en place le sommaire du numéro à venir. Henri, Marie, Amandine, Emmanuel, Adrien, Julie, Fabrice, Margaux sont les membres actifs de notre rédaction : articles, photos, distribution… chacun a sa place. Notre équipe s’est formée à forces d’articles, d’interviews. C’est beau, nous avons rencontré de très belles personnes au fil du chemin.

M : Pour quelqu’un qui ne connait pas CALQ, quelles sont les rubriques que l’on peut retrouver ?

C : Architecture, tourisme, gastronomie, art, des portraits d’altiligériens, des bonnes adresses… bref 60 pages de positif et d’amour.

Architecture, bonnes adresses, lifestyle…

M : Le magazine est tiré en 10 000 exemplaires et est entièrement gratuit, c’est un cadeau génial que vous nous offrez là !

C : Oui c’est un peu fou et c’est grâce à nos partenaires que nous en sommes arrivés là. De nombreux mécènes nous soutiennent et c’est pour cela que le magazine arrive tout beau, tout gratuit dans la main des altiligériens.

M : Où est-ce qu’on peut retrouver CALQ ?

C : Le magazine sera distribué très prochainement chez tous les commerçants qui le souhaitent. Hôtels, restaurants, salons de coiffure… vous pourrez le retrouver un peu partout.

M : Super ! Qu’est-ce qu’on te souhaite pour la suite ?

C : Une longue vie ! Et pour tous ceux qui le souhaitent, nous recherchons activement des gens pour s’investir dans l’aventure, donner des idées… Pour que l’on continue de pouvoir s’adresser à tous.