Publié le 17/11/2019 - 2 minutes de lecture

Précision : cet article est à lire avec l’accent québécois ! Bisous.

Voilà qu’avec not’ gang on a voulu s’payer la traite en s’enfilant une bonne poutine de chez nous.

Mais qu’est-c’est donc qu’une poutine tabernacle ? 

C’est comme un plat d’pâtes, mais à la place des pâtes, c’est des frites. Tout ça baignant tranquillement dans une sauce brune. Et sur les frites, y’a un maaaaax de cheese. Du cheese AOP please (Saint-Nectaire, fourme etc).

Crois-moi bien l’jeune, avec ma blonde et mes chums de gars on s’est régalés au plus au point. En plus, avec cette neige là sur la Haute-Loire on se s’rait vraiment cru en Gaspésie, on avait presque envie d’enfiler les patins.

J’peux t’le dire, une fois ta gamelle de poutine avalée, tu crapahutes pas après l’caribou !

Mais où donc se paqueter la fraise de poutine par chez nous ? 

Chez Mister Greaser, place du Clauzel au Puy-en-Velay tabarnak !

Adrien prépare sa poutine avec beaucoup d’amour et, cerise sur le sundae : ça coûte que 10 €.

Un conseil après ça : tu te sucres le bec avec une bonne petite glace et l’affaire est ketchup !

Ostie d’calisse d’maudit tabarnak ! On t’conseille grandement d’aller becter la poutine jusqu’à la fin d’année au Puy, ça va te donner du réconfort 🙂

L’ONCLE DE MARCEL FROM QUEBEC WITH LOVE

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